Contact avec la société Canadienne et les communautés d’immigrés
« Introversion grecque »
Α.Κ.: En gros, l’Hellénisme avait un problème qui je pense qu’aujourd’hui n’en est plus trop un. Pendant cette période, on n’était pas… on vivait à Montréal, mais on n’était pas vraiment dans la société. On était une communauté de Grecs. Donc, nos relations, si on exclut certains évènements qui avaient lieu, qui, je l’imagine, étaient des événements pour le Premier mai, auxquels nous participions avec les Français, ou des organisations étudiantes etc. Là-bas, on pouvait avoir et on avait du contact avec eux. Généralement, si tu exclut l’association ici, qui a beaucoup de contacts avec la société locale, les ministres venaient nous rendre visite etc, nous n’avons pas de relations proches. Toutefois, je crois que lentement, nous avons été capables avec l’association, l’association des travailleurs, et nous nous sommes fait un bon nom et une bonne relation avec la société locale.