Λ.Π.: Et nous amenions des films à voir…à v…à v…pour que l’hellénisme voie des films grecs. Nous les gardions en dessous de l’église. ΕΡ.: Ah, oui? Λ.Π.: Oui, oui. Pour qu’ils voient des films grecs. Nous avions aussi le bingo. Nous avions du bowling pour les jeunes. De belles années ont passé. Mais je ne peux rien dire. Dieu merci. Très bien. ΕΡ.: Oui, mais… Il n’y avait pas d’équipe de soccer grecque. Λ.Π.: Euh... Nous avions créé une par la suite. ΕΡ.: Αh, vous aviez créé une après. Λ.Π.: Nous avions créé du soccer. Du bon et du mauvais…environ dix équipes grecque existent toujours de nos jours…Ici à Ottawa. ΕΡ.: Αh, oui? Λ.Π.: Et des filles, des petits enfants et tout. Oui. Nous avions. ΕΡ.: Votre relation avec la société canadienne? Avec la société canadienne. Avec d’autres équipes d’immigrants, aviez-vous des relations? Aviez-vous du contact? Quand vous êtes arrivé. Λ.Π.: Εuh... quand... Écoutez. Non. Je ne crois pas avec…nous avions dans le temps… dans le temps nous étions chauds arrivés de la Grèce. Les Italiens. Les Espagnols. Nous jouions au soccer, et pour la plupart, nous nous chicanions. De la même façon qu’ils se chicanent en Grèce maintenant. Les amateurs, nous nous chicanions à l’extérieur du terrain…alors. Bien? Cela…Cela n’a jamais arrêté. Maintenant cela a cessé. Parce que les choses ont changé. Nous sommes devenus nous aussi des agneaux. De agneaux sauvages que nous étions dans le temps, nous sommes devenus calmes. ΕΡ.: Ok. [Rires] Λ.Π.: Vous comprenez? Alors. Même la police venait au terrain et les policiers étaient…euh…en service, disons.