Le cadeau

Une femme considère que vivre dans une société canadienne multiculturelle était une expérience importance et précieuse. Écoutez, car avant j’enseignais, comme je vous l’ai dit, le grec aux adultes, j’ai rencontré un grand nombre de personnes qui venaient à mes cours pour leurs propres raisons personnelle. J’ai noué beaucoup d’amitiés avec des individus de différentes ethnicités qui sont venus à mes cours et je n’avais aucun problème. Aussi, je me sens probablement chanceuse d’avoir grandi comme j’ai grandi, mes parents m’ont appris à respecter les différentes religions, différentes traditions, ethnicités, langues, car chaque personne, de la même manière que j’aime la mienne, aime la sienne aussi. Par conséquent, si je respecte l’individu, je respecte aussi ce qu’il apporte avec lui. Tant que cette personne respecte les miennes aussi. C’est-à-dire, quelqu’un ne devrait pas essayer de me convertir à sa religion ou à d’autres habitudes. Et dû au fait que je n’étais pas une personne qui copiait ou suivait quelqu’un pour faire partir d’un groupe, depuis que j’étais enfant, j’avais mon propre opinion et mes propres vues et mes croyances. Donc, je respectais et exigeais du respect. J’aimais et appréciais les gens, et toujours encore, pour ce qu’ils peuvent m’apporter en termes de savoir. Car tout le monde, que ce soient les jeunes ou les vieux, ou les pauvres, ou les riches, ou les sans instruction ou les instruits, je pense qu’ils ont quelque chose à offrir. Donc, la société canadienne, ou une société différente était un cadeau pour moi.