Δ.Μ.: J’allais aussi aux bouzoukia les samedis soirs. [Rires] Aux grecs, c’est-à-dire. Ici, aux…locaux. ΕΡ.: Et dans le temps les bouzoukia étaient…y avait-il beaucoup de gens? Δ.Μ.: Il y avait beaucoup de gens. ΕΡ.: Ah oui? Δ.Μ.: Oui, oui, la communauté grecque était très active dans le temps. Tout le monde était jaloux de la communauté grecque. br> ΕΡ.: Et il y avait beaucoup de bouzoukia? Où…? Δ.Μ.: Αh, à l’endroit où j’habitais tous… il y en avait tout autour…moi je suis déjà allé à un ou deux. Je me suis mêlé avec des amis français du Nouveau Brunswick, des immigrants eux aussi, et ils étaient venus ici et…nous allions à…Parkville, l’ancien Parkville. Je ne sais pas ce que c’est maintenant. En tout cas, c’était proche de…sur Parc…C’était à Parc-Extension, et j’y allais les fins de semaine…à…où il y avait de la musique. Musique ah…de cowboys. C’est-à-dire musique…comment dire? Avec…ce n’était pas…de la musique grecque. C’était leur musique. Mais je l’aimais, j’avais aussi des amis là et… ΕΡ.: Je comprends. Δ.Μ.: ... nous passions. ΕΡ.: Vous quelles pratiques et quelles coutumes …? Δ.Μ.: Country. Musique Country. ΕΡ.: Ah! Country. Δ.Μ.: L’orchestre se nommait La [...] musique country. ΕΡ.: Je comprends.