Le premier « Jour grec » de Vancouver Cliché du defile du premier « Jour Grec » en 1974, à Vancouver. La photo montre le défilé de l’association « Alexandre le Grand » (des Macédoniens). Au premier plan, en costume, le président de l’association, Lazaros Malamas.
Conditions de l’offre
Video Player is loading.
Current Time 0:00
/
Duration 0:00
Loaded: 0%
Progress: 0%
Stream Type LIVE
Remaining Time -0:00
1x
Chapters
descriptions off, selected
captions settings, opens captions settings dialog
captions off, selected
This is a modal window.
Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window.
End of dialog window.
Φ.Τ.: Ma première implication dans une association était dans l’association des Koans, l’association Hippocrate de Kos… ah, qui a peut-être été fondée avant que je vienne au Canada, peut-être à un moment en ’67, mais à un moment, ils avaient interrompu puis ressuscitée, on pourrait dire, nous-mêmes pendant la période de ’71-’72. Ah… pendant plusieurs années, au moins pendant dix ans jusqu’à ce que je parte pour la Grèce en ’82, j’étais toujours dans l’association and je les aidais. J’ai aussi été président de l’association, eh… je pense de ’75 à ’77, quelque part par là. Aussi, on avait l’association dodécanésienne, qui était pour tout le Dodécanèse et là j’étais dans le conseil de Saint Nicolas, je crois environ pendant la période de ’89-’90 quelque part par là. À cause du fait qu’on avait les jus et les enfants allaient à l’école grecque ici, je me souviens qu’à l’époque, Père Joh, et Georges Kokoris, qui était président à l’époque et je leur avais dit : « Les gars, venez me dire ce qu’il vous plaît » and je les fournissais toujours en jus et en tout ce qu’ils demandaient et les enfants leur donnaient. Donc, et là a commencé mon engagement dans notre communauté ici, de Saint Nicolas. Et presque depuis ce moment, depuis les années 90 et jusqu’à récemment, il y a deux ans, et exactement comme ton père et on a tous servi notre paroisse autant qu’on pouvait et peu importe ce… on a offert ce que l’on pouvait.