Le festival grec comme moyen d’intégration

Τ.Κ.: Oui, en effet dans les années précédentes la communauté grecque était très connectée aux politiciens. Si tu veux le maire de la province, si tu veux le membre du parlement du gouvernement dans la région ou autres. Toujours, peu importe l’événement qu’on pouvait avoir, on les invitait, des gens de l’extérieur pour qu’ils voient comment était notre culture, qui on était, et ce qu’on offrait en tant que peuple, ce qu’on offrait à la société en général, parce que nous ne sommes pas une communauté qui, peu importe l’argent gagné, le garderai pour elle-même. On donnait de l’argent en dehors de la communauté aussi, pour aider les établissement au sein de la société.
ΕΡ.: Ah, ok. Il y a dix-quinze ans, j’étais dans le conseil, l’autre conseil, qui a créé le festival grec. Ça durait trois jours, vendredi, samedi, dimanche, et ça s’est fait ici dans la communauté, dans un endroit où nous avions…
ΕΡ.: Qu’est-ce qu’avait le festival grec?
Τ.Κ.: Le festival grec faisait ce qu’offrait la Grèce. Il y avait de la nourriture grecque, il y avait des boissons, des activités lié avec la société dans laquelle ils vivaient. Je parle de la société canadienne. Tout d’abord, ce festival, des participants là-bas, quatre-vingt-dix personnes de l’état… des Canadiens, des Français, des Italiens, beaucoup d’autres, venaient à ce festival. À l’époque c’était bien.