Le niveau d’éducation, ainsi que le désire pour l’accès à l’éducation et au progrès social, déterminent toujours les routes migratoires, notamment pour la jeune génération. Dans le cas Canadien-Grec, l’immigration est également associée à l’éducation à cause de la réalité canadienne. Les questions de choix de langue, et par conséquence, de réseaux scolaires, sont toujours mis de l’avant, particulièrement au Québec durant l’époque de la Révolution Tranquille et des guerres linguistiques. Entre-temps, l’éducation grecque plane entre l’attente de conserver une identité nationale « ancestrale » et l’inquiétude/désire pour l’intégration sociale.